Plus de 8000 hommes pour tenter de mater la colère jaune des classes populaires. Gardiens d’un pouvoir arrogant qui n’hésite plus à appeler « casseurs » l’ensemble des manifestants. Gaz, canon à eau, matraques, blindés, manœuvres, répression. Mais la stratégie de la peur n’a pas marché. La détermination est là ; la crise politique et sociale ouverte par le mouvement des Gilets Jaunes ne se renfermera aussi simplement. La détestation de roi Macron augmente jour après jour.

Le gouvernement et la presse du style BFM, de plus en plus détestée, présentent l’opératif répressif de Paris comme un « succès ». La réalité c’est que même si le dispositif monstre à empêché que les manifestants exercent leur droit de manifester librement, rien ne peut assurer que le gouvernement ait réussi son coup de commencer à mettre fin à l’énorme grogne sociale.

D’autre part, le gouvernement continue à insister sur « les casseurs » et l’on montre à la télé des images de quelques affrontements et feux. Evidemment, les images de la brutale répression policière ou des manifestations qui se passent bien jusqu’à ce que la police lance ses provocations on les voit moins. Et la lutte continue.

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