Des journalistes de terrain se font bâillonner une fois de plus, dans un contrôle clairement visant à intimider et à limiter l’exercice de la profession. Cette fois, un des reporters du collectif REC – Reporters En Colère –, constitué principalement dans le but de dénoncer la répression, les entraves à l’exercice de la profession et pour la liberté de presse, a été contrôlé et subi une palpitation des policiers déjà au début de la manif.
Manif pas encore commencée que des journalistes du @REC_Collectif se font arrêter. @NnoMan1 subit un palpation très limite. #GreveGenerale pic.twitter.com/JOS5wSoGfy
— Taha 📷 (@MTGphotographe) December 5, 2019
Levant leur appareil photo, les journalistes du collectif qui voulaient faire entendre leur voix contre « la répression, les entraves policières et la précarité » ont mené une action contre les violences policières qui, principalement dans un période de lutte de classes aigue bâillonne principalement les journalistes indépendants qui partagent un point de vue différent de l’éditorial des médias dominants.
#GreveGenerale
Reporters en colère
Les #ViolencesPolicieres
Nous empêchent de travailler
On ne se laissera pas bâillonner #grevedu5decembre #reporterEnColere #REC pic.twitter.com/COLzwe0pLS— Reporters En Colère 🔴 (@REC_Collectif) December 5, 2019