Gonzalo est militant à Révolution Permanente et fils d’exilés de la dictature chilienne. Etudiant cette année à Santiago du Chili dans le cadre d’un échange universitaire, il prend pleinement part à la mobilisation sur place, au sein du Parti des Travailleurs Révolutionnaires du Chili.
Il prend ici la parole devant l’assemblée étudiante de son université, dans une ambiance explosive, défendant la nécessité de voter son occupation pour permettre aux étudiants de s’organiser, eux qui sont les fer de lance de la mobilisation historique qui secoue le pays depuis le 17 octobre. "On ne peut pas dialoguer avec ce gouvernement criminel qui a tué, torturé, violé nos camarades !"