13h00 : A Bordeaux, 200 personnes réunies contre le 49.3 sur le parvis de la gare
12h30 : Au moins cinq interpellés dans la manifestation de jeunesse parisienne, dont des membres de l’interfacs, dont un militant de Révolution Permanente
12h20 : A Blaye en Gironde, la centrale nucléaire est bloquée par les grévistes et les étudiants
12h10 : A Rennes des milliers de manifestants s’élancent depuis le boulevard de la tour d’Auvergne
12h00 : le rassemblement d’étudiants à Tolbiac (Paris) qui devait rejoindre la TIRU est nassé, gazé, réprimé. A Marseille également des lycén.ne.s mobilisé.e.s font face à la répression
11h45 : des étudiants de Paris et Paris Cité débrayent la fac de Paris Cité avant de rejoindre Tolbiac
11h00 : La solidarité entre les travailleurs et les étudiants se construit
Après le TIRU d’Ivry ce matin où étaient les étudiants de Paris Cité, une quarantaine de personnes de Paris 8 rejoignent la TIRU de Saint-Ouen.
10h50 : Les étudiants de Paris 3 rejoignent la fac de Paris Cité pour débrayer l’université avant de rejoindre Tolbiac
10h30 : Au lycée Henri IV à Paris une grosse mobilisation dans une ambiance déterminée
9h00 : à Rennes les trois dépôts de collectes d’ordures sont bloqués
8h30 : l’information sort : les raffineurs ont voté l’arrêt de la raffinerie Total Normandie
8h15 : Nanterre, Paris 8, Paris 3, Science Po Bordeaux : de nombreuses universités bloquées au lendemain du 49.3
8h00 : huit camions de gendarmerie arrivent au piquet des éboueurs à Ivry
Gazages à bout portant, interpellations, et coups sur les grévistes qui rejettent la réforme des retraites : la gendarmerie cherche à intimider les grévistes et leurs soutiens. Ils résistent et appellent à les soutenir, au 41 rue brusneau. Jean-David réprimé sur le piquet, nous assure : « Le garage a été débloqué mais il y a 100% de grévistes donc rien ne va sortir »
7h15 : Les grévistes de l’Energie et des soutiens bloquent le périphérique parisien, la route est vide !
A Clignancourt, Montreuil, et Porte d’Italie sont bloqués.
6h00 : Les soutiens affluent sur le piquet de grève des éboueurs d’Ivry
La colère est palpable sur le piquet de grève, Jean-Davic, conducteur de bennes à ordures insiste : « Avec le 49-3 Macron a mis de l’huile sur le feu, la mobilisation va monter d’un cran, s’il veut que Paris brûle il n’a qu’à continuer. »
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