A l’affiche : A la fois des syndicalistes (tel que Morgane Merteuil, du STRASS), des travailleuses en lutte de différents secteurs comme celles des Hôpitaux et des Hôtels, des maître de conférence de l’Université Paris 8, ou encore des étudiantes de différentes facs mobilisées contre la loi travail. ‎

Cette échéance, évidemment ouverte à toutes et tous montre que le cadre de non-mixité au court duquel celle- ci a été conçue n’est évidemment pas à penser comme une fin en soi, mais bien comme comme une étape au service du développement de la mobilisation et, à une échelle plus large, participant à l’identification et le dépassement des oppressions structurant la société actuelle.