×

Répression policière

Sécurité globale. La police gaze jusque dans le métro, les voyageurs peinent à respirer

Pour disperser le rassemblement devant l'Assemblée nationale qui a réuni plus de dix mille personnes, la police a usé de la force et des lacrymogènes… au point de faire suffoquer les voyageurs et manifestants jusque les rames de métro.

17 novembre 2020

Facebook Twitter

Après un premier rassemblement réussi contre la loi dite de sécurité globale, les manifestants ont été violemment dispersés par la police à coup de canon à eau et de lacrymogènes. De quoi embrumer de gaz les rames de métro passant par la station du rassemblement.


Facebook Twitter
« Rétablir l'ordre Républicain » : Glucksmann légitime la répression coloniale en Kanaky

« Rétablir l’ordre Républicain » : Glucksmann légitime la répression coloniale en Kanaky

Déclaration. Contre la répression coloniale, défendons le droit à l'autodétermination de la Kanaky

Déclaration. Contre la répression coloniale, défendons le droit à l’autodétermination de la Kanaky

Circulaire Moretti : l'Etat se prépare à condamner massivement les Kanak

Circulaire Moretti : l’Etat se prépare à condamner massivement les Kanak

Lidl : comment l'entreprise soutient la colonisation en Cisjordanie

Lidl : comment l’entreprise soutient la colonisation en Cisjordanie

Incendie d'une synagogue à Rouen : un acte antisémite odieux, une instrumentalisation xénophobe

Incendie d’une synagogue à Rouen : un acte antisémite odieux, une instrumentalisation xénophobe

« Journée prisons mortes » : un mouvement pour exiger toujours plus de répression

« Journée prisons mortes » : un mouvement pour exiger toujours plus de répression


Commémoration de la Nakba : Plus de 200 personnes au rassemblement unitaire à Bordeaux

Commémoration de la Nakba : Plus de 200 personnes au rassemblement unitaire à Bordeaux

SUD Rail, MA France, A. Traoré, F. Lordon, … : front à la Sorbonne contre la répression des étudiant·es

SUD Rail, MA France, A. Traoré, F. Lordon, … : front à la Sorbonne contre la répression des étudiant·es