À l’ordre du jour, la préparation des actions votées lors des AG précédentes, parmi lesquelles deux actions-phare : l’organisation d’une journée Université Populaire sur le campus de Bobigny le mardi 25 février 2020, et la préparation du mouvement national “L’Université s’arrête” à partir du 5 mars 2020.

Une centaine de personnes étaient présent·es et se sont organisé·es en comités de préparation thématiques pour structurer le mouvement. Le mouvement s’ancre de manière durable à Bobigny, comme sur tous les campus de l’Université Paris 13.

Durant celle-ci, de nombreux échanges ont eu lieu. Des propositions ont émergé afin de résister, d’amplifier et de pérenniser le mouvement jusqu’au 5 mars, date à laquelle les universités et labos s’arrêtent de fonctionner. Certain.e.s ont suggéré des actions coups de poing tandis que d’autres ont proposé des actions spectaculaires telles que des die in, flash mob pour rendre le mouvement plus visible. Des étudiant.e.s ont exprimé leurs craintes quant aux sanctions auxquelles ils pourraient être exposé.e.s à l’université (assiduité, notes, bourses,...) mais aussi quant à la répression policière à la suite d’éventuelles actions coup de poing. Néanmoins, l’ensemble des mobilisé.e.s sont bien déterminé.e.s à aller jusqu’au bout de la lutte et jusqu’au retrait des projets de lois.

Ahmed, gréviste et leader du dépôt RATP de Flandre et Riadh ont pris la parole pour témoigner de leur lutte depuis le 5 décembre. Ils ont encouragé fortement tous.tes les étudiants et personnels à se mobiliser, à bloquer les facs et à ce que tous les secteurs convergent.

L’AG s’est poursuivie par la mise en place de comités destinés à organiser la communication, les actions et la préparation de l’Université populaire du 25 Février et de la journée nationale du 5 Mars.

La réforme des retraites ne passera pas ! La LPPR non plus !

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