Léo Serge

C’est donc sur le Pont de la Concorde, en face du palais Bourbon, que, sans raison apparente, Alexis a été violemment arrêté et emmené dans un commissariat où il a passé la nuit. Il est accusé, de façon complètement arbitraire, d’outrage à agent. Sa garde-à-vue a été prolongée mercredi soir et il va donc passer une deuxième nuit en cellule pour avoir soi-disant insulté un policier. Il s’agit évidemment d’une mesure purement politique de répression et d’intimidation contre un jeune manifestant de 22 ans.

Jeudi matin, il doit passer en comparution immédiate. Il faudra être nombreux à venir le soutenir, à 13h, devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, métro cité.

Liberté pour Alexis et tous les réprimé-e-s du mouvement, arrêt de toutes les poursuites prises contre les camarades dans le cadre de la mobilisation !