Selon leur communiqué, cette décision fait « partie de la stratégie d’Israël pour établir son nom en tant qu’Etat légitime pour les générations à venir et rayer définitivement de la carte la Palestine ».

Comme l’affirme le Forum des Journalistes, « le remplacement vise également à falsifier l’histoire, la géographie, ainsi que le droit du peuple palestinien à avoir sa patrie, et aussi une tentative échouée de manipuler la mémoire des Palestiniens et des Arabes ainsi que du monde ». Cette décision est dénoncée comme « contraire à toutes les normes et conventions internationales ».

On ne devrait pas s’étonner de cette provocation de la part du géant Google, qui accepte d’ores et déjà le blocus d’Israël envers les palestiniens, raison pour laquelle Google Maps ne fonctionne tout simplement pas dans la Bande de Gaza.