Ce camarade, Vincent, est accusé d’avoir porté plusieurs coups à un vigile de l’Université lorsque les étudiants ont tenté d’envahir le grand amphithéâtre pour empêcher la venue du préfet du Rhône Michel Delpuech, invité par le barreau de Lyon pour une conférence sur l’État d’urgence. Ce même préfet avait par ailleurs donné l’ordre à l’Université de ne pas inscrire les sans papiers, une position somme toute très révélatrice dans ce climat tendu...
Mais en réalité, derrière ces accusations mensongères se cache la volonté d’attaquer les militants de Lyon 2, dans l’espoir de stopper net l’ensemble du mouvement étudiant. Vaine tentative. En guise de réponse, il faut au contraire renforcer la mobilisation pour l’inscription de toutes et tous à l’Université, tout en exigeant l’abandon des poursuites ! Une assemblée générale se tiendra le jeudi 3 mars pour aborder ces problématiques-là.
Lien vers la pétition contre les poursuites