Taranis News a suivi le procès en appel de Gaspard Glanz, journaliste, vidéaste et photographe militant, qui se tenait mardi, et ont relayé les propos de l’avocat des forces de police. Ce dernier, qui est l’avocat des 21 officiers de la BAC de Rennes, a tenu à rappeler que "la violence de la police contre les journalistes est un mal nécessaire".

Une façon de justifier les nombreuses interpellations, violences, exercées à l’encontre de Gaspard Glanz et d’autres journalistes, ces derniers mois.

Des journalistes et photographes qui ont choisi comme sujet de leur travail les manifestations contestataires du gouvernement Hollande et maintenant de Macron, et particulièrement de photographier la sur-présence policière, la répression, les affrontements.

Gaspard Glanz est particulièrement dans le collimateur de la justice : lui qui a chaque manifestation fournit un reportage complet, vidéos et images à l’appui, des violences policières.

Des procès et une justice, qui visent à tenter d’effrayer les manifestants, journalistes, opposants, de continuer à défier les forces de l’ordre.