Le procès de Nancy initialement prévu ce même jour, a été reporté à une date ultérieure. Après la relaxe historique de Lyon pour état de nécessité, la volonté de condamner les décrocheuses et décrocheurs de portraits non-violents se heurte à des difficultés.

Fait marquant du procès : aucune des personnes venues soutenir les prévenus n’a été autorisée à assister à l’audience, pourtant publique...
“La volonté systématique du gouvernement de poursuivre et condamner les militants d’Action Non-Violente COP21 n’est-elle pas en train de se gripper ?”, interroge Franzeska Bindé, porte-parole d’ANV-COP21.