Le cortège autonome des « Jeunes 13 énervés » d’une petite centaine de personnes a tout d’abord pris la tête de la manifestation avant de tenter de poursuivre le défilé après la dispersion. Quelques affrontements ont eu lieu autour de la place Belsunce avec les CRS. Le rassemblement s’est terminé devant le commissariat de Noailles pour exiger la libération des personnes arrêtées durant la manifestation.

Le gouvernement doit comprendre que nous ne lâcherons rien et qu’il doit retirer son projet de loi détruisant le code du Travail. De nouveaux rendez-vous sont prévus, mardi prochain, 20 septembre à 13h30, devant le Tribunal de Grande Instance, en solidarité avec les trois camarades interpellés lors du blocage des voies du 28 avril et auxquels la SNCF a l’arrogance de réclamer 48 000 € de dommages et intérêts.