Crédit photo : Serge d’Ignazio

Alors les gens se sont mis à nourrir les cheminots

Ont fait des caisses

Et les cheminots se multiplièrent

Et les gares se changèrent en zones récréatives

De partage des collations

Et les cheminots grossirent mangèrent du temps

La fumée n’y faisait rien aucun poison

Leur panse rendait folles les autorités

Or les bras armées se dégonflèrent

L’on se formait dans des lieux disparates

Complètement inadaptés

Cela allait très bien à la majorité des donateurs

L’urbanisme entra en crise

La confusion était jouissive mais dura peu

Sur un mur un au revoir célèbre

A bientôt j’espère

Fabrizio Bajec