Publié sur Cafebabel

Mick ter Reehorst

La ville d’Hambourg s’est transformée en micro État policier durant le sommet du G20. Ce qui n’a pas plu à la population la plus jeune, bien décidée à en découdre. Pendant qu’Angela Merkel accueillait Vladimir Poutine, Emmanuel Macron, Recep Erdogan, Xi Jinping et Donald Trump, les rues n’étaient plus que des lieux d’arrestations, devenant de plus en plus violentes à mesure que la journée avançait. Jeudi, des voitures ont été brûlées tout autour d’Altona, à l’ouest d’Hambourg. Vendredi soir, les rues centrales de Sternschanze sont devenues le décor des appels « anti-G20 » qui résonnaient dans toute la ville.

La police dans les rues. | Mick ter Reehorst

Des manifestants multicolores à Millerntorplatz. | Mick ter Reehorst

Les mains en l’air signifie « je me rends en paix ». | Mick ter Reehorst

Été indien ? | Mick ter Reehorst

Lorsque la police a marché vers Landungsbrücke, où les manifestants avaient plus tôt affrontés les canons à eaux, les personnes présentes ont chanté la Marche Impériale. | Mick ter Reehorst

La police marchant à l’unisson. | Mick ter Reehorst

Sans l’affiche « No G20 » sur leur vitrines, les commerçants risquaient d’être vandalisés. | Mick ter Reehorst

Spéciale dédicace au manifestant qui a eu le temps de se rafraîchir. | Mick ter Reehorst

Oh mon drapeau. | Mick ter Reehorst

Hambourg (« La ville des bikers ») brûle. | Mick ter Reehorst

D’où l’intérêt d’avoir un chéquier. | Mick ter Reehorst

« Pas de violences dans notre quartier. » | Mick ter Reehorst

Sale temps pour Ronald. | Mick ter Reehorst

Traduction par Linda Lefebvre