Née de l’appel internationale #NiUnaMenos, elles défendent la solidarité féministe internationale ; « nos luttes locales sont liées et solidaires de la libération des femmes à d’autres endroits du monde ».
Partout en Europe et à l’échelle planétaire les attaques néo-libérales contre les conditions de travail, le service public, l’éducation, menées depuis plusieurs années n’ont contribué qu’à détériorer la situation des femmes et des minorités de genre, parmi les plus précaires dans la population. En effet nous continuons à occuper les postes les plus précaires tout en devant allier vie de famille. Dans les universités, nous n’échappons pas non plus au sexisme.
En France, on peut déjà observer les conséquences des contre-réformes menées par Macron contre le code du travail sur les conditions de travail des femmes. Avec la destruction de nos hôpitaux, nos universités et nos gares, cela n’ira qu’en s’aggravant. Dans les universités, le « Plan Etudiants » et la sélection auront un impact direct sur les lycéennes et étudiantes, qui verront leur insertion dans l’enseignement supérieur et sur le marché du travail fragilisée. D’où l’importance de lutter toutes et tous ensemble !
Du Portugal jusqu’en France : solidarité avec les étudiantes et étudiants mobilisés !

Sur les pancartes :
« Solidarité avec les étudiant.e.s des occupations en France »
« Resistance féministe contre l’Etat néo-libéral de Macron »