Le modèle européen, notamment allemand et anglais, démontre en effet que la privatisation et l’ouverture à la concurrence du transport ferroviaire est un échec : davantage de morts, un accroissement de compagnies qui tombent en faillite, un coût plus cher en subventions publiques pour l’État et une augmentation pour les voyageurs. Rappelant dès lors que la SNCF est un bien de service public, qu’elle ne doit et ne peut être rentable.