Alors que le centre bus de Belliard vient d’annoncer un 4e cas d’agent contaminé, Faouzi lance un cri d’alarme, à l’instar de nombreux collègues : « On a demandé plusieurs fois du matériel de protection, parce qu’on n’est pas convaincu par comment les bus sont désinfectés... on n’a pas de masque, alors moi j’ai mon cache-cou personnel et je mets un mouchoir dedans pour me protéger (...). On vient au travail avec la boule au ventre. On n’a pas confiance dans ce gouvernement pour nous protéger ».