Depuis le départ de la manifestation, le cortège est la cible de très nombreuses charges policières et d’interpellations au hasard qui dévoilent la stratégie de la préfecture, celle de tenter à tout prix de casser le mouvement et d’empêcher la manifestation. Les manifestants sont victimes d’un harcèlement en règle, la police fonçant régulièrement dans la cortège, sans raisons préalables, pour distribuer de nombreux coups de matraques. Le but est clair, mener des interpellations systématiques et faire de ces arrestations des exemples pour délégitimer le mouvement.
Énorme dispositif policier à Paris. Les policiers chargent et matraquent ! Via @davidchami75100 #LoiSeparatisme #LoiSecuritaireGlobale pic.twitter.com/NNfajS90Ul
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🇫🇷 FLASH - Les tensions commencent à #Paris en marge de la manifestation contre la #LoiSecuriteGlobale. Les forces de l’ordre chargent et procèdent à des interpellations. (@ybouziar pour Mediavenir) #marchesdeslibertes #StopLoiSecuriteGlobale
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À Paris, la police réprime en chargeant les manifestants et en interpellant à tour de bras. Via @actufrparis #repression #LoiSecuritaireGlobale #LoiSeparatisme pic.twitter.com/FM5kJ3ezYd
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Avant même le début de la manifestation c’est déjà un dispositif de répression massif qui a été mis en place.
Paris. Alors que la manifestation commence à Châtelet, un impressionnant dispositif policier est déjà présent pour quadriller et contrôler les manifestants. pic.twitter.com/zes7AP7av9
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Le gouvernement et la préfecture ont donc décidé de casser la mobilisation, dans le but d’intimider les manifestants mais aussi et surtout pour favoriser le concert médiatique contre les violences des manifestants autour des nombreuses interpellations. Ce dispositif de répression montre que plus que il est important de manifester contre les lois liberticides et contre une répression qui vient remettre en question notre droit de manifester.
