Il prend ici la parole devant l’assemblée étudiante de son université, dans une ambiance explosive, défendant la nécessité de voter son occupation pour permettre aux étudiants de s’organiser, eux qui sont les fer de lance de la mobilisation historique qui secoue le pays depuis le 17 octobre. "On ne peut pas dialoguer avec ce gouvernement criminel qui a tué, torturé, violé nos camarades !"