Dans un tract de mars 2017, la section CGT expliquait : "Depuis l’arrivée de Cyril Janin en Juin 2011, les salariés ont essuyé :

  •  1 Plan de sauvegarde de l’emploi qui a impacté 28 Merchandisers
  •  1 Procédure de licenciements économiques mise en place sur 6 postes
  •  35 départs

    Le tout appuyé par Ghyslaine Cohen (CFDT), Bruno Ragni (CFDT) et Frédérique Déprez (sans étiquette) qui, nous vous le rappelons, ont validé les licenciements économiques de vos collègues alors que vos élus Info’Com-CGT s’y sont formellement opposés ! "

    Il faut croire que ces "syndicalistes" ont remis le couvert ce 24 mai. Premièrement, en approuvant la vente prévue, sans même avoir d’informations à ce sujet, et en allant jusqu’à s’opposer à toute expertise proposée au CE par la CGT. Mais elle a fait même pire, en approuvant, dans un CE suivant, le licenciement de deux salariés et élus Info’ Com-CGT, facilitant ainsi le projet du patron.

    C’est ce qu’explique en détail Alicia Pinot, Représentante Syndicale au CE de Logic-Immo, dans une vidéo publiée sur le Facebook de la CGT Info-Com le jeudi 25 mai

    C’est un exemple de plus, pour ceux qui en ont encore besoin, du rôle de collaboration que joue ce syndicat avec le patronat et son gouvernement. Un exemple parmi de nombreux autres, qui relativise énormément le résultat soi-disant historique sur la "représentativité syndicale" où la CFDT serait devenue le "premier syndicat", devant la CGT (puisque ce résultat prend en compte les élections au CE dans chaque entreprise, et on comprend qu’il est bien plus difficile de créer une section syndicale CGT locale, qu’une section CFDT, favorisée par les directions la plupart du temps...).