Alors que l’épidémie de Coronavirus s’aggrave et que les agents de la RATP se démènent pour assurer la continuité du service public malgré l’angoisse de la contamination, la direction de la RATP ne trouve pas mieux que de poursuivre sa répression sans limite.

Partie 1

La logique de fond de cette répression : briser toute velléité de contestation à l’heure où la RATP se prépare à l’ouverture à la concurrence. Mais c’était sans compter sur la détermination de ces syndicalistes et leurs soutiens, qui n’entendent pas se laisser abattre, comme ils l’ont montré pendant les 2 mois de grève historique qui ont secoué les transports parisiens.
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Partie 2

Dans cette deuxième partie, Ahmed démonte une par une les accusations mensongères portées contre lui, tel un conseil de discipline sur la place publique, pour montrer l’acharnement scandaleux dont il fait les frais. Ciblé par la direction de la RATP sur la base de rapports d’huissier à charge, il nous replonge dans l’ambiance du piquet de grève, aux 5 dates où on l’accuse de blocage du dépôt de bus de Flandre. La réalité est tout autre : soutien massif sur le piquet, blocage par les enseignants et étudiants mobilisés, répression policière... à croire que la RATP est prête aux mensonges les plus grotesques pour se débarrasser d’un syndicaliste combatif.